Achoui Rabab écrit : L’intelligence Artificielle : Nouvelle Frontière de la Géostratégie Globale
Achoui Rabab
rabab.achoui@gmai.com / rabab.achoui@outlook.fr
Doctorante chercheuse à la faculté des sciences juridiques économiques et sociales de Mohammedia, Maroc
Centre des Études Doctorales
Laboratoire : Gouvernance sécuritaire, Action publique et droits de l’Homme
Sous l’encadrement du Monsieur le Professeur HATTABI Jamal
Résumé
Cet article explore l’impact croissant de l’intelligence artificielle (IA) sur les dynamiques géopolitiques, en se concentrant sur les rivalités technologiques et idéologiques entre les grandes puissances telles que les États-Unis, la Chine et la Russie.
L’IA, en particulier les intelligences génératives, bouleversent non seulement les relations internationales mais influencent également la manière dont les gouvernements et les entreprises exercent leur pouvoir à l’échelle mondiale.
Des acteurs comme Open AI, Meta et les Big Tech américains se disputent la suprématie technologique, tandis que la Chine renforce ses systèmes de surveillance, et la Russie utilise l’IA pour des campagnes de désinformation.
Ce travail analyse ces développements, leur impact sur la gouvernance mondiale, et les perspectives pour une régulation internationale de l’IA.
Introduction
Le fondement de l’intelligence artificielle et ses répercussions sur notre vie politique et géopolitique, la guerre de l’information, les élections, la guerre des idées et les modèles culturels de tout ceci nous mène autant que chercheurs à plusieurs pistes qui convergent et divergent selon la cadence que l’évolution technologique prouve.
Chronologiquement, l’internet a été développé bien avant le début du 21 ème siècle. Les principales étapes de son développement se produisent principalement dans la seconde moitié du 20 ème siècle, avec des avancées significatives dans les années 1960,1970 et 1980, puis les réseaux sociaux en gros dans la décennie suivante et aujourd’hui l’intelligence artificielle.
La question évidente pour les lecteurs c’est en premier lieu le quoi et ça change quoi ?1
Nous pourrons donner des réponses beaucoup plus simples afin d’illustrer ce nouveau monde qui à la fois nous facilite la vie et à la fois nous provoque un sentiment d’insécurité vis-à-vis de nous-même.2
En répondant à la question, nous pouvons dire qu’il s’agit de super systèmes en gros et de façon très schématique, c’est le fait de prendre beaucoup de données, ça peut être tous nos usages sur internet, ou les données militaires même, les communications, les télécommunications et ça peut être aussi les données industrielles, et qu’on va injecter dans les modèles d’entrainement pour les entrainer de façon massive pour en sortir des outputs, c’est à dire en fait de l’information.
Ou autrement dit c’est le fait de nourrir une machine à grand coup de data et que cette provision de data donne à la machine les moyens de produire en raisonnement qui ressemble à un raisonnement humain. C’est assez spécifique à ce qu’on va appeler les intelligences génératives, par exemple chat GPT ou Gemini de Google, et ceci génère grâce à des systèmes algorithmiques qui vont -selon des consignes en fonction de ce que nous avons envie de chercher- nous générer du contenu du texte, code, de l’image et ça peut être bienveillant ou malveillant.
En parlant de la source ou des grands acteurs de l’IA nous retrouvons les géants technologiques, ce qu’on appelle les Big Tech entre qui aujourd’hui une grande bataille culturelle se joue, plus clairement entre Sam Altman, qui est le patron d’Open AI et qui est cette startup qui a mis sur le marché Chat GPT, le fameux qui a relancé, disons, la troisième grande vague d’intelligence de ces 20 dernières années et qui est lui-même financé par Microsoft. Et en face on va avoir par exemple les grands programmeurs, vu que la technologie, l’intelligence artificielle par les systèmes dont on a parlé, véhiculent une vision du monde. Cette bataille des géants technologiques autour de l’outil qui va préempter nos usages à un caractère purement culturel.
Cette bataille des géants technologiques autour de l’outil qui va préempter nos usages à un caractère purement culturel.
Il y a les grands industriels de l’IA, on en cité quelques-uns, les principaux. Et puis il y a aussi les États face à l’Intelligence Artificielle.
On commence par la réalité qui s’impose et qui précise que celui qui dominera l’intelligence artificielle dominera le monde, dominera le 21 eme siècle.
Il avait dit ça en effet en 2017 et à ce moment-là, il y a eu cette vision de se dire : Il va y avoir un État, une entité qui va contrôler cette technologie et qui va en effet dominer le monde. C’est même une balkanisation, une fragmentation ce qui nous montre le rapport qu’entretient la Russie avec l’intelligence artificielle.
Cadre théorique et méthodologique
L’analyse repose sur une approche interdisciplinaire combinant études géopolitiques, sciences politiques et sciences de l’information. Les concepts de « guerre cognitive »3 (Desmet,2011), de « suprématie technologique » et de « souveraineté numérique » (Morozov,2011) sont centraux dans cette étude, car ils permettent d’expliquer comment l’IA influence la concurrence entre États-Unis, de la Chine et de la Russie, ainsi qu’une étude des stratégies de communication et de réglementation adoptées par les Big Tech.4
1
Les Grandes Puissances et leurs Stratégies en IA
La géostratégie numérique est désormais un élément crucial des dynamiques politiques contemporaines, car le numérique est devenu un espace stratégique clé pour l’exercice du pouvoir et l’affirmation de l’influence sur la scène internationale. Prenons l’exemple des élections présidentielles américaines, où les technologies numériques ont joué un rôle fondamental. Elles ont été utilisées pour collecter des données, mener des campagnes de publicité politiques ciblée et sécuriser les infrastructures électorales. Les États-Unis, par leur maitrise des technologies numériques, ont pu influencer l’opinion publique mondiale, consolidant ainsi leur soft power tout en assurant la protection de leur sécurité nationale grâce à des infrastructures numériques solides.
Par ailleurs, la coopération croissante au sein des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) et l’ascension de la Chine en tant que leader des infrastructures numériques-avec des initiatives telles que la 5G, les systèmes de surveillance et les paiements numériques-mettre en lumière l’importance stratégique croissante de la géostratégie numérique. Ainsi, la géostratégie numérique est devenue un axe majeur de la politique étrangère, façonnant les alliances, alimentant les rivalités et influençant les enjeux de sécurité à l’échelle mondiale.
1.1
Les États-Unis
Aux États-Unis aujourd’hui, la règlementation est fortement orientée. Vers la question de la sécurité nationale. Cet environnement règlementaire coexiste avec un écosystème d’innovation, comprenant les célèbres géants technologiques, mais aussi d’autres acteurs évoluant dans un marché libéral.
L’IA est perçue comme un vecteur de compétitivité économique et de sécurité nationale. Les géants technologiques comme Open AI, financé par Microsoft, et Meta jouent un rôle central dans le développement de l’IA (Rosenberg et Markoff,2016). Cependant, la réglementation y est fragmentée et centrée sur la protection de la liberté d’expression, inscrite dans le Premier Amendement de la Constitution. Cette liberté permet une grande autonomie aux plateformes, mais pose des défis en matière de modération des contenus. Par ailleurs, la capacité des algorithmes à rendre certains contenus viraux ou invisibles influence profondément l’opinion
publique et la gouvernance démocratique.5
Mais ce qui est fondamental à avoir en tête c’est que l’élite technologique américaine, de la Silicon Vallez , de Plantir et de Paypal, qui sont en train de pencher vers l’ Alt-Right, la droite radicale, la droite extrême américaine avec ce programme, c’est-à-dire qu’on va utiliser nos outils technologiques pour véhiculer une espèce de Make Americaine Great again par la technologie. Chose qui donne aux algorithmes la possibilité d’aider l’extrême droite à gagner sa bataille des idées sur ces réseaux sociaux.6
C’est très simple, si on prend par exemple XTwitter, c’est un espace public où se joue, où se fixe une partie de l’agenda international où communique en premier lieu tous les gouvernants.
En ce qui concerne les réseaux sociaux, nous jouissons d’une forme de liberté d’expression aux États-Unis, inscrite dans le premier amendement de la constitution américaine.
Cependant, cela pose des problèmes en matière de modération des propos, notamment ceux qui se situent dans une zone grise mais qui ne sont pas pénalement répréhensibles. Cela soulève des questions sur la gouvernance de Meta, Instagram, Twitter, etc…7
1.2
La Chine
En Chine, l’approche de l’IA est fondamentalement différente en raison de la censure étatique et des valeurs socialistes. Le Gouvernement utilise l’IA comme un outil de surveillance de la population et de contrôle social, avec des systèmes de reconnaissance faciale et une régulation stricte des réseaux sociaux (Zuboff,2019). Cependant, cette censure limite l’efficacité de l’IA en particulier la diversité des données, freinant ainsi le développement technologique. Pour
pallier cela, des entreprises comme Alibaba utilise des plateformes open source comme LLaMA de Meta pour optimiser leurs systèmes d’IA.8
L’IA est donc ici un moyen d’homogénéiser l’information et de renforcer le contrôle politique, consolidant la gouvernance autoritaire (Ding,2018).
En chine, la situation est fondamentalement différente en raison des valeurs en jeu. La censure complique le développement de leur propre système d’intelligence artificielle.
En effet, dès que les lois permettent de censurer le discours politique et d’homogénéiser les contenus sur les réseaux sociaux et les plateformes, les systèmes d’intelligence artificielle deviennent moins performants en raison de la similarité des données. Récemment, Ali baba, l’un des plus grands géants technologiques chinois, a annoncé son utilisation LLaMA, la plateforme d’intelligence artificielle open source de Meta, pour atteindre un niveau de performance plus élevé.9
Nous pouvons percevoir que l’intelligence artificielle est un outil privilégié des dictateurs, vu qu’elle représente un adjuvant efficace pour exercer un Control social.
Le cas d’école c’est la chine, la censure fait que ça empêche d’avoir une forme d’hétérogénéité des données et donc une meilleure performance des systèmes algorithmiques et d’intelligence artificielle.
D’une autre coté c’est que les investissements ont beaucoup basculé vers le techno surveillance.
Les systèmes d’intelligence artificielle actuels en Chine renforcent tous les outils de contrôle social. Cela inclut le déploiement de la connaissance faciale pour surveiller les espaces publics, la régulation des réseaux sociaux, et des amendes sévères pour les grandes entreprises technologiques qui ne respectent pas les règles promouvant les valeurs socialistes.
Il est crucial de rester vigilant, car même dans les démocraties libérales occidentales comme la France, il y a une tentation croissante d’industrialiser l’utilisation de technologies de surveillance hyper avancées alimentées par l’intelligence artificielle. Ce sujet mérite un débat public éclairé pour défendre les valeurs d’État de droit.
L’IA devient ainsi un outil de contrôle de la population, influençant ce qui peut être exprimé et orientant les opinions politiques ce qui représente un risque majeur lors des évènements politiques internationaux comme les grands scrutins et les élections présidentielles.
En réalité nous observons déjà l existences des deux principaux axes de préoccupation ; le premier est celui des cyberattaques visant à perturber le fonctionnement des élections, des services administratifs et des portails gouvernementaux pour semer la division. Le second qui est plus délicat est celui des campagnes de désinformation, les ingérences et le micro-ciblage, amplifiés par l’intelligence artificielle.
1.3
La Russie
La stratégie russe a davantage été mais partout un ensemble de lois d’ailleurs, sur une forme de souveraineté dite informationnelle. Ils ont réussi à développer un écosystème relativement autonome qui s’appelle le RuNet.10
La capacité qu’à développer la Russie de Vladimir Poutine à venir trôler le débat public mondial ou en tout cas européen, ça passe par l’intelligence artificielle ou non ?
Une question éminemment géopolitique qui se pose sur la capacité qu’à la Russie de Vladimir poutine à développer pour trôler le débat public mondial et qui passe par l’intelligence artificielle, c’est toute la question de la désinformation et des ingérences, notamment russes, pour déstabiliser les démocraties occidentales, absolument et c’est bien antérieur à la guerre d’Ukraine.11
C’est une stratégie qui consiste par les fermes à trôler, par tout un tas de bottes automatisées. Ça c’était la première phase à venir, si on veut inonder nos réseaux sociaux avec la désinformation avec des récits qui vont promouvoir de discours russe, ou plutôt d’ailleurs déstabiliser nos démocraties mais par leur intérieur, en polarisant, en brutalisant le débat public, en donnant de la matière à des groupes complotistes ou separationistes pour augmenter la dissension, pour augmenter l’impossibilité de la conversation démocratique.
L’intelligence artificielle joue un rôle crucial dans ce contexte, car elle permet d’industrialiser la création de contenus faux à une échelle sans précèdent.
Cela inclut la production de faux sites d’information et de sites dits miroirs, ainsi que la fabrication en masse de deepfakes,ces fameuses vidéos truquées. Ces contenus mensongers, de plus en plus sophistiqués, deviennent de plus en plus difficiles à détecter.
Il faudra alors développer des algorithmes capables de conter ces faux algorithmes, ou compter sur les citoyens disposés à consacrer beaucoup de temps sur les réseaux sociaux pour les dénoncer.
Elle utilise des « fermes à trolls » et des bots pour diffuser de la désinformation, polariser les débats publics et déstabiliser les processus démocratiques (Omand et Bartlett,2019).12
Cette stratégie, qui utilise des algorithmes pour propager des contenus polarisants, vise à saper la stabilité des États démocratiques et à renforcer l’influence géopolitique de la Russie.
2
L’IA dans la Guerre de l’information et les Enjeux Géoéconomiques
2.1
Guerre de l’information
L’IA facilite la diffusion de contenus trompeurs à une échelle sans précédent. Des technologies comme les deepfakes et les cheapfakes permettent de produire des images et vidéos truquées difficiles à détecter, perturbant ainsi la confiance de public. 13
Selon Citron (2019), « l’impact des fausses vidéos sur la perception publique et les élections est vraisemblablement dévaster ». En Argentine, par exemple, des vidéos falsifiées de basse qualité ont été utilisées pour attrister les tensions politiques.14 Ce phénomène souligne l’impact de l’IA dans la manipulation des perceptions et l’orientation des opinions publiques.
2.2
Enjeux économiques et hégémoniques
La compétition entre les géants de la technologie révélé également un enjeu économique. Des personnalités comme Elon Musk et Sam Altman cherchent à imposer leur vision de l’IA, influençant les dynamiques politiques.15
En utilisant des plateformes comme X Twitter pour promouvoir des idées spécifiques, Musk exploite l’IA pour amplifier la visibilité de certains contenus et marginaliser d’autres. La bataille pour la suprématie technologique devient ainsi une lutte pour façonner les valeurs et les normes de la société (Haggart et Henne,2020).16
2.2
Impact de l’IA sur les Modèles de Gouvernance
L’intelligence artificielle pose de sérieux défis pour les démocraties libérales. D’Une part, elle remet en question la capacité des États à protéger leurs citoyens des contenus nocifs sans restreindre la liberté d’expression. D’autre part, elle facilite les ingénieurs étrangers, comme les campagnes de désinformations russes (Bradshaw et Howard, 2018). Dans les régimes autoritaires, comme en Chine, l’IA est utilisée pour renforcer le contrôle étatique, au détriment des libertés individuelles. Cette ambivalence démontre que l’IA, selon le contexte politique, peut être un instrument de liberté ou de contrôle.
2.3
Perspectives Future et Recommandations
1.
Régulation international
Il est crucial d’établir des règles internationales pour l’utilisation de l’IA, afin d’éviter que des acteurs isolés n’exploitent ces technologies à des fins de manipulation politique ou de surveillance (Floridi,2020).17
2.
Détection des contenus trompeurs
Investir dans des algorithmes capables d’identifier les fausses informations devient essentiel. En France, des efforts sont déjà déployés pour contrer les campagnes de désinformation (Wardle et Derakhshan,2017).18
3.
Éducation citoyenne
Sensibiliser les citoyens aux dangers de la désinformation est essentiel pour construire une société résiliente face à la manipulation de l’opinion. Les individus doivent apprendre à analyser de manière critique les contenus qu’ils consomment en ligne (Guess et Nyhan,2018).19
4. Coopération internationale : La coopération entre États pour lutter contre les menaces cybernétiques et réguler les applications de l’IA est une priorité. Des mécanismes de gouvernance multi-acteurs doivent être mis en place pour promouvoir un usage éthique de l’IA et protéger les valeurs démocratiques.20
Conclusion
L’intelligence artificielle représente un outil puissant et polyvalent, capable de transformer la géopolitique mondiale. Cependant, elle pose des risques sérieux pour la stabilité des démocraties, la protection des droits humains et l’intégrité des processus électoraux. La compétition technologique entre grandes puissances reflète les ambitions politiques et culturelles de chaque acteur, rendant urgent le développement de mécanismes de gouvernance internationale. Une régulation éthique et concertée de l’IA est essentielle pour éviter que cette technologie ne devienne un instrument de domination ou de contrôle autoritaire.
Nous sommes tous potentiellement des cibles aujourd’hui, et nous devons adopter de nouveau reflexes cognitifs. Dès que nous sommes exposes à un contenu, il est essentiel de prendre une minute pour se demander qui est l’auteur et pourquoi ce contenu nous est présenté. Il est impossible de mettre un policier derrière chacun de nous.
Nous vivons une guerre véritablement cognitive et globale, qui implique des industriels et des États avec un bras de fer majeur.
1Enjeux Numériques par Julien NOCETTI
2Émission Le Dessous des cartes
3Desmet,P. (2020). La guerre cognitive : comment l’intelligence artificielle façonne la sécurité nationale. Sécurité internationale,45(2),36-52.
4Les constats multiples d’une souveraineté numérique déficiente 18 La souveraineté numérique, un instrument de politique étrangère
7Focus sur la stratégie IA des États-Unis dans un contexte géopolitique.
8Creemers, R. (2020) . Le système de crédit social chinois : une pratique de contrôle en évolution. SSRN.
9Analyser le rôle de l’IA dans les mécanismes de surveillance en Chine
10 Émission Le Dessous Dessous des cartes ARTE
11 Sharikov, P. (2022). La stratégie de la Russie dans le domaine de l’IA . Journal of Strategic Studies
12Le dessous des cartes émission sur la chaine ARTE
13Étude comment la Russie utilise l’IA dans les campagnes d’ingérence.
- 14. Citron,DK (2019). Deep Fakes : un défi imminent pour la vie privée, la démocratie et la securite nationale. California Law Review, 107(6),1753-1820
15Le dessous des cartes “émission sur la chaine ARTE »
16Cath, C. (2020). L’intelligence artificielle et la « bonne société » : l’approche des États-Unis, de l’UE et de la Chine en matière de gouvernance de l’IA. Revue de politique Internet.
17Floridi, L. (2020). L’éthique de l’intelligence artificielle à l’ère de la cyberpolitique
18Géostratégie numérique 2024 influences la politique étrangère
19 Géostratégie numérique 2024 influences la politique étrangère
20 Étudier les effets de l’IA sur les enjeux stratégiques et militaires.
Références
. Bradshaw,S., et Howard,p. (2018). L’organisation mondiale des campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux. Journal of International Affairs,71(1),23-32.
. Citron,DK (2019). Deep Fakes : un défi imminent pour la vie privée, la démocratie et la securite nationale. California Law Review, 107(6),1753-1820
.Desmet,P. (2020). La guerre cognitive : comment l’intelligence artificielle façonne la sécurité nationale. Sécurité internationale,45(2),36-52.
. Ding,J.(2018). Décrypter le rêve chinois en matière d’IA : le contexte, les composantes,les capacités et les conséquences de la stratégie chinoise visant à devenir le leader mondial de l’IA. Institut pour l’avenir de l’humanité.
. Floridi, L. (2020). L’éthique de l’intelligence artificielle à l’ère de la cyberpolitique
.Géostrategie numérique 2024 influence la politique étrangere .
.GeoStrategia-L’agora stratégie 2.0
.Enjeux Numériques par Julien NOCETTI