Rabat et la féminisation
Une lecture très rapide de la scène démocratique au Conseil communautaire de Rabat au cours du mois de mars 2024.
Il s’agit d’une analyse de ce qui a été popularisé et promu par la plupart des intéressés, et cet article ne représente pas notre opinion personnelle, ni partisane ni académique.
Lors de la violente campagne menée au sein du Conseil communautaire de Rabat contre sa présidente, Mme Asma Aghlalou (la maire), menée par un groupe de conseillers du Conseil communautaire de Rabat.
Il était naturel de s’attendre à une mort politique
Et le président clinique de la Mairie de Rabat.
C’est elle qui s’est accrochée à son rôle jusqu’au dernier moment pour faire de la première expérience verticale féminine dans la ville de Rabat un succès.
Jusqu’à ce que les intérêts matrimoniaux de Beit soient compromis, mettant immédiatement fin à la série d’héroïsme en privilégiant les intérêts personnels sur les principes moraux et politiques.
Ainsi, alors qu’elle était en train de mourir, elle a commis une autre erreur fatale envers ses partisans et ses amants, en les laissant avec des problèmes de sécurité juridique, à un moment où elle aurait pu régler ce dossier avant de leur soumettre sa démission décevante et fatale à son parcours politique. .
Puis les événements continuent et les points de vue divergent, entre un haineux, un haineux, un supporter et un amoureux, ce qui fait que chacun chante sa nuit.
Au milieu de ces ragots, le jour décisif est arrivé le 26/03/2024, nous présentant une nouvelle expérience féminine du même parti (Fatiha Al-Moudani).
Ce qui nous amène à nous interroger sur sa situation actuelle :
Saura-t-elle sauver ce qui peut l’être et sauver la face de ce parti qui vit un conflit interne, qui a conduit à l’avortement de l’expérience Asma Ighlalo ?
Ou sera-t-elle à nouveau victime de ce conflit interne dans le marais des crocodiles et des gobelins ???
En même temps, cela nous a donné un bureau qui contenait beaucoup de confusion et de patchwork.
Mais nous espérons que l’équilibre et la stabilité politique seront atteints au sein de la ville, et cela sera une réalité inévitable qui leur sera imposée, car la ville de Rabat est à l’orée d’événements majeurs et a besoin de toute autre expérience ratée… ,
(Nous ne voulons pas voir un bébé mort.)
La question problématique persiste également concernant la position de certains camarades dans ce même bureau, pour laquelle nous leur souhaitons du succès.
Mais il est naturel qu’ils perdent leur valeur historique et leur crédibilité politique.
Et la moralité est contraire à l’orientation générale de l’institution de leur parti.
A l’heure où certains de leurs militants refusent de laisser leur parti historique devenir une roue de secours.
D’un autre côté, nous constatons que les malheurs d’un peuple ont des bénéfices pour un peuple, donc la position de certains autres partis dans les rangs de l’opposition au sein de ce conseil servira leurs intérêts futurs, d’autant plus que leurs partis ont choisi l’opposition institutionnelle au niveau national. et localement.
Il va sans dire que c’est notre opinion personnelle. Aujourd’hui, face à ce qui se passe dans la ville de Rabat, nous déclarons la nécessité de faire respecter réellement les textes constitutionnels liés à la gouvernance (liant la responsabilité à l’imputabilité) dans la gestion de l’argent. et les affaires publiques, pour protéger l’intérêt public de la société et de l’État.
Copié des opinions de ceux qui s’intéressent aux affaires locales du district de Yusufiyah.
Rédigé par ElHomrani Diyae